Les brèves de ces deux derniers jours relatives à l’expatriation des entraîneurs français font parler (voir par ailleurs). Parmi les retours particulièrement autorisés, celui d’Hugo Sanudo, l’animateur et responsable du réseau international de la FFF : "Nous avons de très bons retours d’éducateurs et contrairement à ce qui se dit encore trop souvent, les techniciens français se mettent en relation et s’entraident au moins autant que les coachs portugais, italiens, espagnols ou néerlandais. Par le biais du "réseau de la fédé" mais pas seulement. Ce que je constate est que les choses évoluent et qu’il y a de plus en plus d'entraîneurs hexagonaux sur tous les continents. En d’autres termes, les techniciens français s’exportent bien même s’il faut bien reconnaître que certains pâtissent encore d’une maîtrise approximative de l’anglais." Des arguments qu’il conviendra certainement d’étayer avec des chiffres mais qui, dans une certaine mesure, tordent le cou au lien commun selon lequel les techniciens français auraient tendance à se la jouer "perso".
Brève